mardi 26 septembre 2017
Nouveau rituel
Maintenant que nous savons comment faire l'appel de la conche, nous avons un nouveau rituel. À chaque coucher de soleil, nous soufflons dans la conche pour annoncer sa venue. Plusieurs plaisanciers font la même chose donc au coucher du soleil, nous entendons plein de gens souffler dans leur conche. Les filles sur le bateau trouvent cela très romantique.
Départ de Béquia pour se rendre à Tobago Cays
Nous avons quitté Béquia le 22 septembre. Après 6 heures de navigation à la voile, nous sommes arrivés à Tobago Cays la même journée à 14:39 pm.
Tobago Cays est comme un grand lagon entouré de récif. C'est très beau. Nous y avons encore beaucoup chassé et la chasse était bonne. En fait, plus on descend vers le sud et plus la langouste et le poisson sont faciles à trouver. Nous y sommes restés 2 jours pour nous rendre ensuite dans un autre mouillage qui s'appelle Saltwhistle Bay. Encore un beau mouillage avec une belle plage et de la bonne chasse à faire aussi.
Toujours cool de nourrir les poissons à l'arrière du bateau. Malheureusement, ceux-ci ne se mangent pas, car ils sont toxiques !
Étant donné que le cuir de notre barre commençait à être usé, Xavier nous a confectionné un cordage qui recouvrira la barre pour la protéger du soleil. C'est beau et en plus ça fait marin comme dit Xavier. Il a mis 7 heures pour le faire !
Le 25 septembre, nous avons quitté ce mouillage, car ça devenait inconfortable à cause de la houle qui commençait à entrée dans la baie. Nous nous sommes donc rendu à un autre mouillage mieux protégé qui s'appelle Saline Bay. À notre surprise, en arrivant dans la baie, nous voyons le voilier qui nous a dérapé dessus lorsque Maria est passée. Il est ancré dans la baie. Nous prenons donc le soin de nous ancrer assez loin de lui, car nous n'avons pas confiance à sa façon de s'ancrer et nous ne voulons pas revivre la même situation que la dernière fois. Nous sommes parties visiter le petit village de l'ile et les gens ici sont vraiment très accueillants et très gentils. Ensuite, nous sommes revenus au bateau et un petit grain nous est passé dessus. Durant ce grain, notre fameux voilier qui nous avait dérapé dessus il y a quelques jours s'est encore mis à déraper et il n'y avait personne sur le bateau. (Je ne comprends pas ce qu'il faisait sur la plage, quand un grain arrive, on a tout intérêt à être sur son bateau afin d'être prêt au cas ou celui-ci déraperait). Étant donné que leur bateau dérapait et que personne n’était dessus et qu'il s'en allait directement foncer sur un gros voilier qui était ancré en arrière de lui, un bon samaritain d'un autre voilier au mouillage à embarquer dans son annexe et a foncé sur le voilier pour aller le pousser afin de changer sa trajectoire et de faire en sorte qu'il ne fonce pas sur le gros voilier. Ensuite, nous voyons nos Cocos arriver à toute allure avec leur annexe pour embarque sur leur bateau et partir les moteurs pour sauver leur bateau.
Le problème est que nos Cocos remontent l'ancre et viennent se réancrer à environ 300 pieds de nous (Xalya et Moana). Nous communiquons donc avec eux via VHF et nous leur expliquons que nous aimerions bien dormir cette nuit et qu’étant donné que ça fait 2 fois que nous les voyons déraper, nous ne sommes pas très alaise de les avoir si près de nous donc nous leur demandons si c'est possible qu'ils aillent s'ancrer un peu plus loin. Ils nous répondent qu'il n'y a pas de souci, car là, ils ont mis 2 ancres. Cette réponse ne suffit pas à nous faire sentir alaise et de plus, quand tu mets 2 ancres, si tu tournes dans la nuit, les ancres et les chaines se mêle ensemble ce qui fait en sorte que si tu dois remonter les ancres en catastrophe à cause que tu dérapes tu risques d'être dans la merde et cela peut être encore plus dangereux pour nous. Nous décidons donc ( Xalya et Moana) de remonter l'ancre et d'aller nous ancrer le plus loin possible de nos Cocos.
Voici notre bateau de Cocos !!!
Rafale de photos
Mangeur de bananes. Il en a mis partout le petit cochon !
Pause lecture.
Aujourd'hui ou demain, nous allons quitter notre mouillage pour se rendre à l'ile d’Union ou nous devrions trouver de bonnes petites épiceries, car nous commençons à être à sec. Nous sommes plus qu'à une journée de navigation de Grenade là ou les ouragans passe que très très rarement. Par contre, nous descendrons tranquillement, car nous voulons visiter toutes les petites iles qui sont sur notre chemin pour rejoindre Grenade. On peut dire qu’en date d'aujourd'hui, le danger des ouragans est pratiquement écarté pour nous et nous en sommes bien contents !!!
Tout se passe bien sur la bateau. La petite routine a recommencé avec l'école l'avant-midi, les travaux à faire sur Xalya et les activités l'après-midi. En plus, là où nous sommes, nous avons du bon Wifi au grand plaisir de tous sur le bateau.
lundi 25 septembre 2017
L’ouragan Maria.
Après avoir été passé
la journée à Petit Nevis et y avoir chassé le poisson et la langouste, nous
avons décidé de retourner dans la baie de Admiratly Bay à Bequia dans les
Grenadines de St-Vincent afin de nous préparer pour la venu de l’ouragan Maria.
Nous savions qu’elle nous passerait au Nord, mais nous savions également que
nous aurions du vent. Dans la nuit du 18 septembre, le vent s’est mis à lever.
Rien de dramatique, mais quand même des rafales à 25 nœuds. À 4 :00 am du
matin, notre éolienne s’est mise à tourner pas mal plus vite avec des rafales
d’environs 30 à 35 nœuds. Le Capt se lève pour s’assurer que tout va bien et
voit un voilier qui s’en vient droit sur nous. Son ancre n’a pas tenu le coup
et il dérape droit sur nous. Le Capt l’éclaire avec la lampe de poche, car le
Capitaine semble dormir sur son bateau donc il n’a pas connaissance qu’il va
nous frapper. La lampe de poche ne donne rien et il s’approche de plus en plus.
Le Capt se met alors à crier afin qu’il se lève. Une lumière s’ouvre enfin. Le
Capt l’avise qu’il dérape et à ce moment, il est vraiment très près de Xalya
dans des vagues d’environs 4 à 5 pieds qui font valser son voilier d’en avant
et d’en arrière. Lorsqu’il décide enfin de partir son moteur et d’avancer, il
n’était plus qu’a 4 pieds des coques avant de Xalya. Nous avons donc passé à 30
secondes de se faire cogner par ce voilier. Une chance que le Capt c’est
réveiller, car je n’ose pas imaginer les dommages que nous aurions eus et une
chance également qu’il ne ce n’est pas pris dans notre chaine et notre patte
d’oie quand il a démarré les moteurs, car cela aurait pu nous mettre dans une
fâcheuse position. Il est finalement
parti s’ancrer beaucoup plus loin de nous au grand bonheur du Capt.
Le pire danger dans une baie là où il y a un
certain vent qui souffle est souvent le danger qu’un bateau dérape sur vous.
Quant à nous, nous n’avons pas la science infuse, mais quand qu’ils nous
annoncent du vent, nous mettons toujours l’alarme sur le GPS du laptop ce qui
nous permet de savoir immédiatement si nous dérapons et ci c’est le cas, sa
nous donne le temps de réagir afin qu’il n’y est pas de casse.
Malheureusement, ce ne sont pas tous les bateaux qui possèdent ce genre
d’alarme donc nous devons rester sur nos gardes continuellement.
Le lendemain, le 19
septembre, le vent souffle toujours. Nous décidons donc d’aller mettre l’ancre
plus loin dans la baie là ou il y a beaucoup moins de bateaux ce qui miniminise
ce genre de situation. Nous nous mettons également très près du rivage ce qui
fait en sorte que nous n’avons aucun bateau devant nous donc pas de risque qu’un
autre bateau dérape sur nous. Patricia demande toujours au Capt de se mettre le
plus près des plages possibles lorsque l’on va dans une baie, mais cette
fois-ci, elle était pas mal moins chaude à l’idée avec les vagues et le vent. Ha,
les femmes, elles ne savent jamais ce qu’elles veulent ! Lol. Le soir venu, Le Capt et Patricia conviennent
qu’il serait mieux de faire des quarts puisque les vents augment à du 30 noeuds
en continu avec des rafales jusqu’à 40 noeuds. Nous décidons de faire des
quarts de 2 heures. Premier quart pour
Patrick qui restera réveiller pour surveiller les bateaux et Xalya aussi et
deuxième quart pour Patricia et ainsi de suite pour toute la nuit. Durant cette
nuit, la houle nous apportait des vagues de plus de 8 pieds avec du vent allant
jusqu’à 40 nœuds. Encore une fois, nous étions au courant que nous aurions ces
vagues et ce vent, mais nous savions que le vent était prévu pour changer de
direction à 2 :00 am du matin et étant donné que nous ne voulions pas
changer de mouillage durant la nuit, nous avons décidé d’y aller pour cette
option. On se fait ch… en début de nuit, mais après, on a la paix pour le
restant de la nuit. Le problème est que le vent a décidé de changer de
l'ouest au sud seulement à 4 :30 am
du matin donc on c’est fait ch…. Presque toute la nuit. Durant cette nuit,
Moana ( Zoltan et Melany ) on eu un problème de patte d’oie. L’une de leurs pattes
d’oie qui retient le bateau à la chaine de l'ancre a littéralement éclaté sous
la pression du vent et des vagues qui étaient exercées dessus. Ils ont donc du,
en pleine nuit avec les vagues et le vent faire une réparation de fortune pour
finir la nuit. Zoltan me surprend toujours avec son calme dans des situations
pareilles.
Voici un exemple d'un bateau dans le trouble essayant d'enlever son ancre avec les restants de Maria !!!
Le matin venu, le vent est resté sur l’allure
Sud et la houle s’est beaucoup estompé au grand bonheur de tout le monde à
bord. Étant donné que cette journée était wash
concernant la météo, nous avons décidé de faire des petits travaux sur
Xalya. Les enfants, qu’en à eux on lut des livres et ce sont tappé des films.
Patricia nous a fait du bon pain chaud pour nous réconforter et le Capt a
décidé de faire de la langouste pour le souper. Il faut se faire un
petit peu plaisir après 2 journées de merde comme ca.
La journée du 11 septembre, direction Bequia dans les grenadines de St-Vincent.
À 2:45 am, Ginger
(notre chien) vient lécher le Capt pour le réveiller, car elle a envie de pipi.
Bon, étant donné que le cadran était prévu pour 3 :00 am, le Capt décide
de ne pas retourner se coucher et prépare le café dont nous aurons grandement
besoin pour bien nous réveiller.
3 :00 am, le
cadran sonne comme prévu et Patricia se lève. Nous commençons à préparer le
bateau pour notre départ qui est prévu pour 4 :00 am. À 3 :30 am, une
chauve-souris passe dans le coque pit et fait sursauter le Capt. Elle repasse
pour une deuxième fois donc le Capt demande à Patricia de fermer la porte-patio,
car on ne veut vraiment pas se retrouver avec cette bestiole dans le bateau. Une fois le bateau préparer, nous décrochons
le cata du mooring à 3 :50 am. Zoltan et Melany décident quant à eux de
partir seulement à 6 :00 am. De toute façon, ils sont plus rapides que
nous donc ils viendront nous rejoindre sans problèmes.
Patricia fait la vigie à l'avant du bateau pour surveiller les cages de pêcheurs
À 5 :53 am, le
soleil se lève et sous sommes toujours à moteur faute de vent. À 6 :27 am,
on passe devant les fameux pitons. Ce sont 2 montagnes pointues qui font la
fierté des habitants de St-Lucie. 11 milles nautiques de faits, toujours à
moteurs. Malheureusement pour nous, nous ne nous y arrêtons pas ( dans la baie
des pitons), car les locaux sont très insistants dans cette baie. Ils viennent
te voir, se font passer pour les officiels et te font payer des frais pour le
mouillage. Ensuite, les officiels viennent à leur tour et te demande encore de
l’argent pour le mouillage. Le problème est que ni les non officiels, ni les
officielles portes un habit officiel ce qui fait en sorte que nous sommes dans
l’impossibilité de savoir à qui on paye ! Et en plus, on ne parle pas des vendeux
de bananes, poissons, etc. à qui si on n’achète pas, peuvent devenir un
tantinet agressif.
Les Pitons
À 6 :37 am, on
passe lapointe de l’ile et le vent se présente enfin. Nous avançons à 7 nœuds
ce qui est vraiment bien comme vitesse nous coupons donc les moteurs. Zoltan et Melany nous appel sur la VHF pour
nous aviser qu’il quitte à leur tour le mooring.
À 8 :30 am, le
Capt passe la barre ( le volant du bateau) a Patricia pour aller à l’intérieur
faire des toasts pour le petit déjeuner. 5 minutes après que le Capt est donné
la barre à Patricia, le vent se met à lever à plus de 30 nœuds. Changement de rôle.
Le Capt reprend la barre et Patricia va à l’intérieur pour faire le petit
déjeuner. Nous serrons le vent le plus possible afin de soulager le bateau et
les voiles. Le vent finit par redescendre et souffle à une moyenne de 20 nœuds.
Durant cette navigation, nous avons battu un record de vitesse. Nous avons filé
à plus de 9.7 nœuds ! Nous nous sommes pris un belle grosse vague et le bateau
a presque enfourné d’un côté. La vague s’est brisée sur Xalya et l’eau a passé
par-dessus le toit. Bon rien de dangereux, mais surprenant quand même.
A 16 :20, nous
sommes arrivé à notre mouillage après 12 heures 21 minutes de navigation.
Patricia est de plus en plus alaise à la barre et Xavier aussi ce qui permet au
Capt de prendre des pauses. Ha oui, j’allais oublier. Patrick et Patricia, on
reprit leur rôle de Directeur d’école et de professeur, car l’école à officiellement
recommencé ce matin du 11 septembre. Toute bonne chose à une fin !!!
Relaxe de barrer le bateau, quand le pilote décide de fonctionner !
Bequia
Depuis que nous
sommes à Bequia, les journées passent assez rapidement. Le matin, c’est l’école.
Pendant que les enfants font leurs travaux scolaires, les parents travaillent sur
le bateau. L’après-midi, les gars partent à la chasse (beaucoup de langoustes ici).
Les fonds marins ici sont vraiment spectaculaires et très divertifier. On y
voit des murènes, serpent des mers, crevettes, poissons-rocher, etc. Le soir,
nous faisons du Wake board avec les enfants. Croyez-moi, après des journées comme
ça, les enfants se couche pas très tard !
L'école est officiellement recommencé !
Melya !!!
On s’écœure pas de la langouste. C'est tellement bon !!!
Notre nouveau banc à la barre ! Hey !!!
Sur l’ile, nous avons
trouvé un gars qui a pu refaire nos coussins à la barre. Nous sommes vraiment
contents de la job. Les 2 coussins étaient tout déchirés avec l’usure, car il
faut dire que toujours sans pilote automatique, nous en passons du temps à
cette barre. Nous avons également trouvé un gars pour faire réparer la
génératrice, mais malheureusement, une pièce de la craink est brisé et il ne l’a
pas stock donc nous devrons attendre à Grenade. Nous avons vraiment hâte qu’elle
fonctionne, car les batteries ne suffisent pas à la demande faute de soleil et
de vent. Nous sommes en saison des pluies et le soleil est moins présent et le
vent aussi donc nous serions bien contents de pouvoir donner un petit boost aux
batteries quand qu’elles descendent trop. En attendant, nous n’avons pas le
choix de démarrer les moteurs une fois de temps en temps afin de donner un peu
d’énergie au parc de batterie.
Hier, nous avons
décidé de changer de place dans la baie afin d’être capable d’avoir de l’internet
au bateau. Lorsque Patricia a commencé à remonter l’ancre, le guindeau, c’est
mis à forcer. Impossible de remonter l’ancre. Le Capt a décidé de plonger pour
aller voir ce qui n’allait pas. La chaine s’était enroulée autour d’une vieille
ancre abandonnée au fond de l’eau. Le Capt a essayé de déprendre le tout, mais
avec 20 pieds de profondeur, il n’avait pas assez de souffle pour avoir le
temps de déprendre le tout. Pas le choix, nous sortons la bombonne de plongée
et le Capt retourne au fond de l’eau. Après 15 minutes a forcé comme un fou, le
capt a finalement réussi a déprendre le tout et nous avons finalement pu aller nous
ancrer un peu plus loin la ou il y avait du wifi pour nous.
Aujourd’hui, nous
devrions lever l’ancre pour ce rendre a une petite ile déserte qui se nomme
Petit Nevis et qui est à seulement une heure de ou nous sommes. Il devrait y
avoir de la bonne chasse affaires autour de cette ile.
A plus !
jeudi 7 septembre 2017
Saint-Martin
Lorsque nous avons
passé plus d’un mois a Saint-Martin nous avions regardé la possibilité d’investir
dans un condo que nous aurions mis en location a la semaine question de faire
un peu de sous et de pouvoir y passer quelques semaines par année en vacance
lorsque nous serions de retour au Québec.
Nous en avions trouvé
un qui était stratégiquement bien situé pour la location aux touristes avec plage
à une minute de marche, avec une marina bien protégée directement sur le site, etc.,
etc. Nous avions donc communiqué avec l’agent immobilier par courriel et
demandé un rendez-vous, mais finalement, nous avons du quitté Saint-Martin à
cause de la météo et l’agent immobilier ne nous a jamais répondu.
Comme Patricia dit
toujours, il n’y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Regardez les photos
du site avant et après Irma. Le condo était situé dans les immeubles qui avaient
un toit brun sur la photo, près des bateaux et des quais. Maintenant, il n’y a presque plus de toiture
!!!
Le site avant Irma
Le site après Irma !!!
Les Saintes !!!
Super bel endroit.
Nous avons décidé de louer un car de golf pour visiter l’ile. Zoltan et Melanie
ont quant à eux loué un scooter. Une super journée. Les enfants ont adoré. Nous
avons fait le tour de l’ile au complet. Nous sommes allés au fort, nous y avons
vu des chèvres en libertés, nous avons été diner à un petit restau, fait une
petite épicerie et bien sûr, nous sommes retourné chasser !!! C’était vraiment
super !!!
On le voit partout dans les guides mais Patricia ce réjouit de le voir en vrai !!! La maison du Docteur !!!
Le car qu'on c'est loué pour le tour de l’île !!!
Zoltan et Melanie. Ils sont beaux avec leur casque......
Trop cool Mel !!!
La vue du fort !
Wow !!!
Je crois qu'ils s'aiment vraiment !!!
Elles sont canon ces filles !!!
Au restau. Hey !!!
La chasse a été bonne !!! Bravo les gars !
Melya a enfin réussi à flatter sa chèvre sauvage
Nous avons finalement
quitté Les Saintes le 30 aout pour ce rendre en Dominique. Nous avons ancré
dans la baie de Roadstread. Ici, commencent les Boatboys. En fait, quand nous
arrivons dans la baie, un rasta, vient nous voir immédiatement avec sa chaloupe
pour nous montrer quel mooring prendre et nous aide à faire les manœuvres. Bon,
pas de trouble, on lui donne 15.00 $ pour son mooring et tout est OK, mais nous
avons décidé de ne pas descendre du bateau, car ça ne nous semblait pas super
sécuritaire. Nous avions même prévu une surveillance sur quart (nous et Moana).
Donc Patrick reste debout jusqu’à 23 :00 pm, ensuite Patricia prend le
relais pour 3 heures, Zoltan ensuite et Melanie pour finir afin de surveiller
les bateaux. Finalement, le tout est tombé à l’eau (pour ne pas faire de jeux
de mots) et nous sommes tous partis nous coucher tôt, car nous étions crevés.
Le Capt s’est levé environ 6 fois dans la nuit pour être certain que tout était
OK, mais finalement, tout s’est bien passé.
Nos Boatboys en Dominique
Le 1 septembre, le
lendemain, cap sur la Martinique, car il ne faut pas oublier que nous sommes
toujours en fuite concernant Irma (l’ouragan) qui s’en vient. vu que c`est la fete a Xavier, maman lui a fait son déjeuner préféré ( double recette de crepes) pendant la navigation , nous avons mit la ligne a l`eau pour attraper un thon car le monsieur veut des sushis pour sa fete ( rien de moins pour un garcon de 14 ans) mais sans succes. Melya tant qu`a elle ,lui offre comme cadeau .....de faire son lit et qu`il peut lui demander ce qu`il veut , il n`a pas trop exagéré et pour finir un gateau aux bananes comme dessert. Ah Nous espérions
trouver une place à quai au Marin (marina), mais finalement, il n’y avait aucune
place. Nous nous sommes donc ancré dans la baie en face de la marina. Nous
sommes partis en annexe pour aller faire une petite épicerie et nous avons eu
la surprise de rencontrer Moatu atua sur le quai. Il faut dire que c’était la
fête à Xavier le 1er septembre donc nous devions trouver tout ce qu’il nous
fallait pour fêter la fête de notre garçon. Finalement, on a tout trouvé.
Patricia lui a fait un super gâteau et nous avons fêté avec l’équipage de
Moana. Nous avons fait un pâté chinois. Trop drôle, nos amis suisses ont bien
aimé, mais ils trouvent que le nom du plat ne va vraiment pas avec le plat. C’est
vrai dans le fond ! Pourquoi on appelle cela du pâté chinois ??? Ca rien de
chinois !?!? Au Marin (Marina), nous n’avons jamais vu une si grosse
concentration de bateau que ça. Il y a des bateaux à profusion à cet endroit.
Nous y avons trouvé un gars qui pourrait réparer notre électronique, mais
finalement, nous avons dû partir avant de se faire réparer, car Irma (l’ouragan)
s’en venait trop rapidement et nous devions descendre encore plus au sud pour
avoir le plus de chance possible qu’elle ne nous passe pas sur la tête.
La Martinique
Les crêpes pour la fête à Xavier
Rocher qui porte le nom Diamant
Donnut boat que les gens peuvent louer pour une journée. BBQ inclus
Xavier était bien content de battre son père
Bonne fête mon grand de 14 ans
Soirée jeux de société pour la fête à Xavier
À la plage
Une bouteille à la mer
La baie du Marin
Le 4 septembre, on
met les voiles direction Saint-Lucie ou nous avons pris une réservation à la
marina Marigot Bay. Aussitôt notre entrée dans le chenail, un boat boy viens
nous voir pour nous vendre des bananes. Le Capt lui demande de lui laisser le
temps de prendre son quai et que nous discuterons avec lui après. Une fois au
quai, la négociation commence. Le Capt qui est brûlé finit par lui acheter ses
bananes et 2 autres fruits pour 9.00 $ US. Bon, on s’est fait fourr….. Mais il
a fini par partir. La marina est bien protégée et le staff y est vraiment
sympathique. Étant donné que la marina appartient à l’hôtel juste à côté, nous
avons droit à tous les services. Piscine, petits drink durant la journée,
douches, etc. Les enfants s’en réjouissent d’autant plus qu’ils seraient
supposer avoir commencer l’école, mais nous avons décidé qu.ils commencerait
une fois notre départ de cette marina afin qu’ils puissent en profiter.
Saint-Lucie
Un nouveau leurre pour prendre du thon
Notre entrée à la marina pour se protéger de Irma
Papa Noel, notre vendeur de bananes
À la piscine de la marina
Ça c'est du cata !!!
Zoltan et ces faux seins
De la visite qui mange nos bananes
Notre coiffeuse à l'oeuvre
Un autre Boatboy
La baie c'est remplit rapidement avec la venu de Irma
L’ouragan Irma.
Nous avons finalement
réussi à nous en sauver, mais nous sommes conscients que nous avons de la
chance quand on voit sur internet les ravages qu’elle a fait. Nous faisons nos
devoirs cotés météo, car nous la vérifions toutes les 4 heures et nous suivons
de près le cheminement de ces ouragans ou dépressions, mais il faut savoir que
les professionnels de prévisions météo se trompe des fois donc nous restons très
vigilants. En ce moment, nous sommes dans l’attente de José, une autre possibilité
d’ouragan, mais elle devrait encore une fois passer plus au nord. Nous avions
nos copains de st-barth (Artémis) qui étaient partis se cacher en Martinique et nous étions
vraiment inquiets pour eux, mais finalement, ils n’ont rien eu. Il reste nos
copains Pat et Vicky qui sont en ce moment aux Bahamas et nos pensées positives
sont avec eux en espérant que tout se passe bien et que sa passe vraiment plus au sud des Bahamas.
Nous avons également
pu aller voir sur internet les dégâts que cet ouragan à fait sur certaines iles
des Caraïbes et nous pensons beaucoup à chaque personne qu’on à rencontré tout
au long de nos visites de ces iles en espérant que tout à bien été pour eux
malgré les forts vents et la pluie.
A plus !
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